Protéger son oeuvre
Les sociétés d’auteurs et de gestion de droits (SABAM, SACD, SCAM…) vous aideront dans la protection de vos œuvres.
La SABAM
Société belge des Auteurs, Compositeurs et Editeurs.
La SACD
Société de gestion de droits d’auteurs spécialisée dans le théâtre, la danse, le cinéma, la télévision et la radio (fictions), la musique de scène, le cirque et les arts de la rue.
La SCAM
Société de gestion de droits d’auteurs spécialisée dans la littérature, le documentaire cinéma, tv et radio, l’illustration et le multimédia non fictionnel.
L'envoi à soi-même de l'œuvre par lettre recommandée avec accusé de réception
Vous devez placer vos œuvres que vous signez de votre nom d'auteur dans une enveloppe, sur n'importe quel support (papier, CD, DVD etc.), que vous vous envoyez en recommandée avec accusé de réception.
Le cachet daté de la poste vous servira de preuve de l'antériorité des œuvres placées dans l'enveloppe.
Pour limiter toute contestation n'ouvrez pas l'enveloppe et surtout faites placer l'autocollant d'accusé de réception par le préposé de la poste sur le rabat de l'enveloppe.
Ainsi, on ne pourra pas vous reprocher de vous être envoyé une lettre vide puis d'avoir placé vos œuvres dans l'enveloppe postérieurement à la date affichée sur l'enveloppe.
Il s'agit d'une des méthodes les moins couteuses, assez rapide et qui n'est pas limitée dans le temps.
Actualité des membres
Marcelle Dumont
Du 15 au 26 mars 2021, Marcelle Dumont participe à l'exposition "Fragment d'un pays vert", organisée par le Centre Culturel Brueghel (Rue des Renard, 1F - 1000 Bruxelles).
Elle sera présente lors du vernissage, le jeudi 11 mars à 19h.
Christian Janssen-Déderix (nouveau membre)
Réalisation de deux court-métrages de fiction. Diplômé en Littérature et Arts de la parole au conservatoire de Verviers, la littérature s'imposa à moi.
En 1985, mon premier texte (Gâteau de lune) fut remarqué par Yves Berger qui m'encouragea malgré le chemin difficile du « non-dit ».
Des années durant, je m'attelai à soumettre en exclusivité mes nouveaux textes, mais le chemin de l'édition est difficile. Malgré l'amitié qu'il me portait, Yves Berger m'avoua ne pas être dictateur au sein de la maison d'édition qui l'employait, car « si cela ne tenait qu'à moi... », avoua-t-il avant son décès.
Dévasté par la disparition de celui qui avouait être mon ami, je poursuivis malgré tout ma quête littéraire sur un chemin de traverse et chaotique.
